Haydn, Tchaïkovski et Dvořák surent tous trois conjuguer des influences variées au sein de leur propre style. Avec ses Variations sur un thème rococo, Tchaïkovski affirme son attachement à la musique du XVIIIème siècle tout en exigeant du violoncelliste une virtuosité typiquement romantique. Créée à Londres, la Septième Symphonie de Dvořák est parfois surnommée « la Grande », en raison de la maîtrise dont fait preuve son auteur. Si quelques touches populaires la colorent çà et là, on y perçoit surtout l’admiration que le compositeur tchèque portait à Brahms.
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